L'autisme : quelles origines, quels traitements ?

Lors de la Journée mpondiale de sensiblitation à l'autisme 2010 - Creative Commons
Lors de la Journée mpondiale de sensiblitation à l'autisme 2010 - Creative Commons
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Comment définir et caractériser les différentes formes d’autisme ? Quels sont les symptômes cliniques ? Comment dépister l’autisme ? Que sait-on des manifestations physiologiques de l’autisme ? Que sait-on des causes de l’autisme ? Quelles thérapies aujourd'hui ?

Avec
  • Frédérique Bonnet-Brilhault Pédopsychiatre et professeure de médecine au CHRU de Tours
  • Thomas Bourgeron Généticien chercheur à l'Institut Pasteur

Une personne sur 5 000 en 1975, jusqu’à une sur 100 aujourd'hui voire plus. Ces 50 dernières années - particulièrement les années 2000 - les statistiques de l'autisme ont augmenté de manière presque exponentielle.

La dénomination des autismes TSA / TED est vaste, « infantile », « Asperger », « atypique » et les symptômes sont bien identifiés : retard de langage, faible attention à l’entourage, gestes répétitifs.

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Troubles des plus visibles, voire populaire donc, mais qui restent difficile à comprendre, les traitements rapides sont lents à se mettre en place, aucun n'est définitif.

En France entre 300 et 600 000 personnes en seraient atteintes. L’adaptation des politiques aux données scientifiques ne va pas sans crispations : preuve encore il y a un mois, cette proposition de loi qui souhaitait exclure la psychanalyse des traitements proposés. Proposition rejetée, les psychanalystes avaient mis en garde contre une tentative de « science officielle ».

L’autisme, un syndrome qui se généralise et mal compris, voire une épidémie ? Ce serait inquiétant.

Ce serait sous-estimer les progrès récents de la médecine et de la recherche : la génétique, l’imagerie, la compréhension du cerveau laissent entrevoir des pistes inédites : ni trou noir de l'âme humaine ni forcément pythies des temps modernes. Est-on à l’aube d’une nouvelle compréhension de l’autisme ?

Pour en parler, Frédérique Bonnet-Brilhaut, pédopsychiatre, directrice depuis 2011 du Centre universitaire de pédopsychiatre du CHU de Tours et Thomas Bourgeron, neurogénéticien, Professeur à Paris VII, chercheur au Labo Unité Génétique humaine et fonctions cognitives de l'Institut Pasteur.

Le film CNRS Images dont l'archive du jour a été tirée :

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Le fil de l'émission :

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Les références musicales :

Le titre du jour : “Recepteur CB1” par Monsieur Roux, tiré du documentaire "Dernières nouvelles du cosmos" de Julie Bertuccelli

Générique du début : "Music to watch space girls by" par Leonard Nimoy

Générique de fin : "Bergschrund" par DJ Shadow

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